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00:0018h43, on se retrouve dans Punchline sur CNews et sur Europe 1.
00:03François Bayrou, au bout de 5h15, est sorti de la commission d'enquête parlementaire hier à l'Assemblée Nationale.
00:09Il s'agissait, vous le savez, de parler de l'affaire Betarame, cette école privée catholique de Pau,
00:14où se sont déroulées pendant des dizaines d'années des agressions physiques et sexuelles sur des élèves.
00:19Le Premier ministre a répondu pied à pied à la commission d'enquête,
00:23qui était présidée par une socialiste,
00:25notamment aux questions du co-rapporteur qui s'appelle Paul Vannier,
00:28qui est un député de la France insoumise.
00:30Écoutez, la conférence de presse qui a tenu ce député insoumis ce matin
00:33pour affirmer que le Premier ministre a été emprunt d'une culture de la violence sur les enfants
00:39parce qu'il avait, rappelez-vous, donné une tape sur la main à un enfant en 2002.
00:44Écoutez Paul Vannier.
00:47Je retiens enfin de cette audition
00:49que le Premier ministre est emprunt d'une culture de la violence
00:54et d'une culture de la violence sur les enfants
00:57qu'il a à nouveau manifestée en relativisant devant nous
01:01des gestes qu'il a décrits comme des gestes éducatifs,
01:05des claques, des gifles,
01:08des tapes éducatives, a-t-il dit,
01:10des claques non violentes, a-t-il indiqué.
01:13Et cette relativisation de la violence sur les enfants,
01:16elle nous enseigne,
01:18car elle nous indique sans doute pourquoi
01:20François Bayrou, dans les années 90,
01:22ne traite pas, avec la vigilance qui est attendue de lui,
01:26les signalements, les alertes sur ces violences qui lui sont transmises.
01:29Ce parallèle de la France insoumise entre...
01:32C'est effectivement une petite tape sur la joue,
01:34vous avez raison de le dire,
01:36parce qu'un gamin lui faisait les poches, à François Bayrou,
01:38jusqu'à dire qu'il cautionne la violence,
01:40Génie Bastier, ça vous inquiète ?
01:42C'est absolument ignoble.
01:42Parce que d'établir un continuant comme ça, c'est absolument ignoble.
01:45Et puis il y a une espèce d'arrogance aussi,
01:46parce que dans les années 70, effectivement,
01:49la société n'avait pas les mêmes critères de violence
01:51à l'égard des enfants, c'était généralisé.
01:53Et c'est vrai, il faut le rappeler, le dire,
01:55tous nos parents qui ont été éduqués dans des collèges...
01:58Je ne parle pas des violences sexuelles.
01:59Ah non, bien sûr.
02:00C'est bien sûr différent, je te parle des violences éducatives.
02:03Les baffes, les gifles,
02:05les châtiments corporels étaient beaucoup plus généralisés dans les années 70.
02:09Donc dire en 2025, avec arrogance,
02:12dans les années 70, il avait une tolérance...
02:14Lui, Paul Vannis, il était né,
02:15s'il avait eu l'âge de François Bayrou, en années 70,
02:17peut-être qu'il aurait dit la même chose.
02:19Non, mais il fait pire, il a eu cette culture de la violence
02:21et il a couvert ce qui s'est passé à Bénard Rame.
02:23Deuxièmement, moi, ce que je trouve intéressant,
02:25c'est que cette gifle de François Bayrou,
02:26rappelez-vous, à l'époque, il l'avait rendue assez populaire.
02:28Il avait pris 5 points.
02:29Il avait pris 5 points dans les tondages.
02:31Je pense que si elle arrivait aujourd'hui,
02:32cette gifle, elle le rendrait très impopulaire.
02:35C'est vrai qu'on a changé d'époque complètement,
02:37on a basculé.
02:37On va faire le lien.
02:38Et sauf qu'on vous juge avec arrogance l'éducation d'hier,
02:41sans voir aussi l'éducation d'aujourd'hui.
02:43Il faut voir ce qu'elle produit, l'éducation d'aujourd'hui,
02:45sur les enfants.
02:45Éric Nolot, éclappé.
02:46Il y a deux choses.
02:47Il est délinquant, en fait.
02:48D'abord, à quoi se faire une commission d'enquête parlementaire ?
02:50Est-ce que c'est pour éclairer une question
02:51ou faire un carton sur le Premier ministre ?
02:53C'est tout ça.
02:54Hier, c'était pour faire un carton sur le Premier ministre.
02:55C'est un carton.
02:56Ensuite, la conférence de presse,
02:57elle est doublement ignoble.
02:58D'abord, parce que ce qu'il reproche à François Béroud est faux.
03:02On ne peut pas dire qu'il gifle le gamin à toute volée.
03:04Il a un réflexe parce que le gamin lui fait les poches.
03:06Excusez-moi.
03:07Et ensuite, d'essayer de noyer un véritable problème,
03:11parce que c'est vraiment un problème,
03:12les violences faites aux enfants,
03:14pour le récupérer politiquement,
03:16je trouve ça vraiment doublement ignoble.
03:17Ensuite, moi, j'ai été élevé dans une institution religieuse
03:20pas très loin de celle de Bétharame.
03:21C'était dans le Pays Basque.
03:23Et c'est vrai qu'à l'époque,
03:24j'ai connu la fin de cette époque,
03:26mais les claques, les gifles,
03:28ou le fait de balancer des objets,
03:30étaient monnaies courantes.
03:31C'est évidemment répréhensible,
03:33mais c'était une époque.
03:34Évidemment qu'aujourd'hui, on ne le supporte pas.
03:35Donc, il faut quand même,
03:36même si on ne peut pas le relativiser,
03:39mais c'est à remettre dans le contexte d'une époque.
03:41Donc, tout ça,
03:41et de la récupération politique de bas étage,
03:44je trouve ça absolument ignoble.
03:45Peut-être que M. le rapporteur
03:48veut faire oublier peut-être l'apparution
03:49d'un ouvrage qui éclaire les dessous de la France soumise.
03:53Oui, et on les a crouvés
03:54au moment de l'affaire Adrien Quatennens.
03:55C'est beaucoup moins déroulant sur les violences,
03:57notamment avec vos femmes.
03:59Le gifleur,
04:00tout d'un coup,
04:00c'était plus du tout la même histoire.
04:02Dernier Quatennens,
04:03Jean-Luc Mélenchon l'a soutenu jusqu'au bout,
04:05voulu sa rédemption,
04:06et c'est très bien,
04:06c'est son choix,
04:07mais je l'ai trouvé un peu gonflé
04:09dans les pères de la vertu.
04:10C'est bien que c'était une gifle une fois.
04:13Ce n'était pas deux.
04:14Moi, ce que je trouve,
04:16quand on voit cette conférence de presse,
04:18c'est d'abord un aveu de faiblesse
04:21parce qu'il sait qu'il a perdu
04:22et que le Premier ministre a été bon,
04:24c'est bien défendu et il n'a pas grand-chose à dire.
04:26Et moi, je trouve ce trio avec lui
04:29qui dit ses sottises
04:30et les deux femmes qui ne bronchent pas
04:31qui n'ont pas un trait d'humour pour dire
04:33ça va là.
04:34On a compris.
04:35Il s'est bien expliqué pendant cinq heures.
04:37Et c'était Paul Vannier.
04:39Au moment où Mélenchon avait un projet,
04:43c'est virer le Premier ministre le plus vite possible
04:45parce qu'il veut accélérer les présidentielles.
04:47Et quand le 11 février,
04:48Paul Vannier lui a demandé à l'Assemblée
04:50qu'il n'avait pas protégé des élèves
04:54des violences pédocriminelles à Bétharame,
04:57ça, ça a été pour le Premier ministre
04:58quelque chose qui l'a meurtri.
05:01Et c'est vrai que depuis trois mois,
05:02à quoi Travalti ?
05:04Mais à sa défense.
05:05Parce que c'est quelque chose qui le submerge,
05:07enfin qui est terrible.
05:08Et là, on a vu qu'il avait, pour une fois,
05:10il n'y avait pas des papiers,
05:11il n'était pas embrouillé.
05:12Là, sa défense, elle était très bien faite.
05:14Et là, à la fois, il attaquait et Mediapart,
05:16qui étaient très approximatifs,
05:17mais toujours dans la charge.
05:19Et ce Paul Vannier,
05:21il avait le livre, la meute sur le bureau,
05:23en évidence.
05:24Quand même, c'était stalinien, quoi.
05:25C'était une ambiance stalinienne.
05:27Et moi, j'ai trouvé que Mme Spilbout,
05:29elle était ambiguë, là.
05:32Parce que je pense qu'elle a dû être
05:33en papa outé par l'autre.
05:35Et elle était gênée,
05:36elle n'osait pas être plus modérée.
05:38Et au fond, elle m'a gênée.
05:43Écoute, au François Bayrou,
05:44qui s'est exprimé à l'issue de l'Odition,
05:46il a parlé d'un moment libérateur pour lui,
05:48en dépit du chagrin que lui cause
05:50la souffrance des victimes.
05:51Pour moi, c'était un moment un peu libérateur,
05:56en dépit du chagrin
06:03que me cause la situation,
06:07ou les souffrances
06:09de ceux et celles qui ont été pris dans tout ça.
06:13C'est le moment libérateur,
06:14Louis de Ragnel,
06:15c'est derrière lui,
06:16pour François Bayrou, maintenant.
06:17Non, mais déjà, c'est la première fois
06:18qu'il a pu s'exprimer sur le sujet.
06:20Ensuite, ce qu'on observe,
06:22c'est que le seul objectif de Paul Vannier
06:24était de détruire politiquement François Bayrou
06:26et derrière, d'attaquer l'enseignement privé catholique
06:29sous contrat.
06:30Il n'y a aucun autre intérêt.
06:32Et d'ailleurs, ce qui est très intéressant,
06:33c'est quand on regarde les réactions
06:35des associations à l'audition de François Bayrou,
06:37que disent les associations ?
06:38Parce que c'est quand même elles...
06:39Association de quoi ?
06:39Des victimes ?
06:40Des victimes.
06:41C'est quand même elles,
06:42on a le droit de les entendre.
06:43Elles disent, attention, attention,
06:44François Bayrou,
06:44c'est absolument pas notre cible.
06:45C'était très bien de l'entendre
06:47et c'était important de l'entendre.
06:48Mais nous, on n'a pas grand-chose
06:50contre François Bayrou.
06:51Ce n'est pas lui qui est en cause.
06:52Il n'a rien commis de mal.
06:54Donc attention à ne pas se détourner
06:55de l'enjeu premier de ces auditions
06:58qui est quand même de savoir
06:59ce qui s'est réellement passé.
07:00Et de protéger les enfants.
07:01D'éviter que ça se reproduise.
07:04Ensuite, la question aussi
07:07qui n'a pas été posée
07:08et qui aurait pu être évoquée,
07:09comment est-ce qu'on peut imaginer
07:10un instant que François Bayrou
07:12a laissé ses enfants,
07:14ses cinq enfants, six enfants,
07:15cinq enfants, je ne sais plus,
07:16dans cet établissement
07:17alors qu'il savait.
07:18Attendez, il n'y a pas un père,
07:20une mère de famille
07:21qui peut imaginer
07:22que François Bayrou
07:24a laissé ses enfants
07:24alors qu'il savait.
07:25Et puis pour terminer,
07:27je rebondis sur ce que disait
07:28Éric Nolot.
07:29Quelle est la vocation
07:30d'une commission
07:31d'enquête parlementaire ?
07:33On était plutôt habitué
07:35à une commission
07:35d'enquête parlementaire
07:36qui vise à contrôler
07:37l'action du gouvernement
07:38et donc d'interroger
07:40le Premier ministre
07:40sur une politique publique
07:41qu'il a mise en œuvre
07:42ou alors sur un scandale
07:43qu'il a fait
07:44dans le cadre de ses fonctions.
07:45Là, ça n'a rien à voir
07:46avec tout ça
07:47et donc on a vu
07:48cette commission
07:49d'enquête parlementaire
07:50se transformer en tribunal.
07:52On était un procès d'assise
07:53avec des gens
07:53qui n'ont aucune qualification
07:54d'ailleurs pour conduire
07:55des interrogatoires
07:56et puis qui essayent
07:57de mettre en accusation
07:58un Premier ministre
07:59mais avec à chaque fois
08:01vraiment, moi je trouve
08:02que c'est ce qui est
08:03le plus important,
08:04c'est utiliser la cause
08:05et la détresse d'enfants
08:06qui ont subi des atrocités
08:07à des fins politiques.
08:09Et en réalité,
08:10on se rend compte d'une chose,
08:11Paul Vannier,
08:11c'est un peu péremptoire
08:12de dire ça.
08:13Je pense qu'il n'en a
08:14rien à faire
08:15de ses enfants
08:16et de ses victimes.
08:17Faire le parallèle
08:19qu'il fait ce matin
08:20après l'audition
08:21du Premier ministre
08:22entre cette claque
08:23qu'il donne à un enfant,
08:24enfant qui est devenu adulte,
08:26qui est devenu délinquant,
08:27qui est actuellement
08:28en prison,
08:28au passage,
08:30et qui donc faisait
08:31les poches
08:32à l'époque
08:32d'un candidat
08:33à l'élection présidentielle.
08:35Donc voilà,
08:36faire ce parallèle
08:37en disant
08:37il ne regrette pas
08:38cette claque
08:39donc c'est pourquoi
08:40il doit couvrir
08:42les violences
08:43à Bétaram
08:43parce que lui,
08:44au fond,
08:45il faisait les mêmes violences
08:46sur un gamin
08:47dans la rue
08:48qu'il lui faisait.
08:48Enfin,
08:48vous vous rendez compte ?
08:49En fait,
08:51il était directeur
08:52de Bétaram.
08:52C'est ce qu'ils veulent dire.
08:54Et c'est lui
08:54qui a commis les violences.
08:55Et je suis d'accord
08:55avec tout ce que vient de dire.
08:56Il y a quand même un souci
08:57avec la France insoumise,
08:58peu importe la commission d'enquête,
08:59que ce soit sur des fréquences TNT
09:01ou sur un scandale
09:02à Bétaram.
09:03C'est-à-dire que maintenant,
09:03ce sont des commissaires politiques.
09:04Donc vous avez Aurélien Saint-Just,
09:09Antoine Robespierre,
09:11Louis Danton.
09:12Vous pouvez choisir
09:12lequel va vous emmener
09:14à l'échafaud.
09:15Et si votre tête tombe,
09:17il y aura Thomas Port
09:18pour faire une photo
09:19avec votre tête sous sa chaussure
09:20comme il l'a fait
09:21avec un ballon de foot
09:22à l'écran de l'hier du soif.
09:23Éric Nolot.
09:24Moi,
09:24j'ai regardé
09:25avec beaucoup d'attention
09:26la commission d'enquête
09:28sur les violences
09:29dans le milieu du cinéma.
09:30Quand j'ai vu quand même
09:31Serge Toubiana sortir
09:32de...
09:33qui est quand même
09:33l'ancien patron
09:34des cahiers du cinéma
09:35sortir de sa serviette
09:37en tremblotant.
09:38Regardez dans les cahiers du cinéma,
09:39on avait fait un article
09:40sur Judith Gaudrèche.
09:41C'est des procès staliniens.
09:43En fait,
09:43les gens arrivent
09:44et sont mis en accusation.
09:45Ils ne sont pas là
09:46pour éclairer le dossier.
09:47Ils ne sont pas là
09:47pour dialoguer.
09:48Ils sont là
09:48pour essayer de passer
09:49entre les gouttes
09:50avec des gens
09:50qui en effet sont là
09:51pour les cartonner.
09:52Ce n'est pas ça.
09:53Ce n'est pas le contrôle
09:54de la démocratie, ça.
09:55C'est un instrument
09:55de vengeance politique.
09:57Ce n'est pas la même chose.
09:58Oui, oui.
09:58Ce qui est terrible,
09:59c'est de voir aussi
10:00Mediapart
10:01avec des avancées
10:03qui étaient fausses.
10:04C'est-à-dire qu'il faisait partie
10:04du conseil d'administration,
10:06qu'il n'en a pas fait partie,
10:08que sa femme était professeure
10:10pendant neuf mois,
10:11une fois par semaine,
10:12le samedi,
10:12elle faisait du catéchisme.
10:13Elle n'était pas professeure.
10:14Elle n'était pas dans le...
10:15Et elle peut très bien
10:16ne pas avoir vu
10:17qu'il y avait des violences.
10:19Voilà.
10:19En tous les cas,
10:20tout est accusatoire
10:21et on ne prouve rien.
10:22Et non, mais vraiment,
10:23c'est quelque chose
10:24qui laissera des traces
10:25et qui fait très peur
10:27parce que là,
10:28on est sortis de...
10:30Il y avait eu l'affaire Baudis
10:31et là,
10:33on est sur un premier ministre
10:33en exercice.
10:34Et on ne lui accorde
10:35aucun crédit par principe.
10:36Baudis, c'était...
10:37Et on voit tout le monde
10:38qui répond dix fois
10:39à la même question.
10:40Oui, mais il prouve les choses.
10:42Et en fait,
10:42il emploie des mots
10:43mais en face,
10:44ils n'en ont rien à faire.
10:45Et rappelons-nous
10:46qu'il était l'accusateur
10:47de Dominique Baudis
10:47dans la presse ?
10:49Plénel.
10:50Plénel.
10:50Plénel.
10:51Oui, oui, mais je veux dire,
10:52Dominique Baudis,
10:53il en est mort.
10:54Fondateur de Mediapart.
10:55Eugénie Basté.
10:56Non, pour revenir
10:57sur ces commissions,
10:58je trouve que ça participe
10:59aussi d'une politique spectacle
11:02en fait,
11:02parce qu'elles sont filmées.
11:03Ils savent qu'ils sont filmés,
11:05qu'il faut faire le buzz
11:06sur les réseaux sociaux.
11:07Ça participe aussi
11:08d'une impuissance parlementaire,
11:09c'est-à-dire que les parlementaires,
11:11le parlement étant bloqué,
11:12ils ne vont pas
11:13véritablement changer la loi,
11:14et bien ils se gargarisent
11:15de ces commissions
11:16qui leur donnent l'impression
11:16d'avoir du pouvoir.
11:17Ils sont ivres de ce pouvoir.
11:19Ils veulent du buzz.
11:19Ils veulent du sang sur les murs.
11:21Ils sont ivres du peu de pouvoir
11:22qu'ils ont,
11:22et on les voit.
11:23Alors, il y a le volet
11:24Meurs avec Godrech et Bayrou,
11:27mais il y a aussi le volet patron.
11:29Alors, ils veulent se payer
11:29les patrons.
11:30D'ailleurs, à chaque fois
11:31qu'un patron se retrouve
11:31en face d'eux,
11:32il en sort grandi
11:33et plutôt avec un capital sympathie
11:35tellement ils sont insupportables
11:37de mépris et d'arrogance.
11:39On l'a vu avec Lucas Deméo,
11:40par exemple,
11:41face à Léoman, je crois.
11:43Et donc, je trouve que
11:45c'est une pente assez dangereuse
11:49qui est en train de prendre
11:49le Parlement français
11:50avec cette espèce d'ivresse.
11:52D'autant qu'il est impuissant
11:53à faire voter des lois.
11:54Merci beaucoup à vous tous
11:56pour cette émission punchline
11:57passionnante en votre compagnie.
11:59Sur ces news,
11:59c'est Christine Kelly
12:00qui vous attend avec ses mosquetaires.
12:02Et sur Europe 1,
12:02Pierre Devineau.
12:03Bonne Corée à vous.